C’est à partir de 1910, dans le Midi et particulièrement à Bormes-les-Mimosas, que le peintre tente d’apprivoiser la lumière. Sa période à Bormes est celle de sa maturité artistique et de son bonheur familial, entouré de sa femme Catherine Louchnikoff et de leurs quatre jeunes enfants.
Après avoir vécu au village, il construit une petite maison à la Pointe de Gouron à La Favière et partage sa vie entre Bormes et Paris pendant une quinzaine d’années. Ses sujets de prédilection sont les arbres, sa passion de toujours, mais aussi les membres de sa famille et les paysages méditerranéens.
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Né en Ukraine,Jean Peské commence ses études artistiques à l’Ecole de peinture de Kiev, ensuite à l’Ecole des beaux-arts d’Odessa et de Varsovie.
Grâce à l’héritage de son père,Jean Peské peut quitte son pays pour la France en 1891.
A Paris, il s’inscrit à l’Académie Julian pour les cours de Jean-Paul Laurens et Benjamin-Constant.
Jean Peské naturalise son nom pour Peské. Dans le milieu polonais à Paris, l’artiste rencontre de nombreuses personnes, dont Marie Curie et Guillaume Apollinaire.
Ses rencontres vont fortement l’influencer dans son art, avec par exemple Signac qui va lancer Jean Peskédans le pointillisme. Pissarro, Bonnard, Vuillard croise sa route. Le groupe Nabis va l’intéresser à la fin des années 1890, il expose d’ailleurs chez Le Barc de Boutteville avec les plus grands du mouvement : Sérusier, Bonnard, Vuillard…
Jean Peské trouve enfin son esthétique auprès du postimpressionnisme, à partir de 1900, influencée par Monet pour ensuite trouver son style auprès des paysages. Ses œuvres sont exposées régulièrement au Salon des indépendants et au Salon d’automne.
Jean Peské connaît le succès et la notoriété à partir des années 20 jusqu’à sa mort. George Clemenceau fait parti de ses admirateurs et Hennesy et Llinas deviennent des collectionneurs attitrés.
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